Introduction

Différentes analyses

Le bilan nutritionnel, un investissement santé accessible… Faire un bilan nutritionnel est conseillé chez toutes les personnes qui accordent de la valeur à leur santé. N’oubliez jamais que vous pouvez être heureux de votre élan professionnel, de votre salaire, de vos biens mais la santé ne s’achète pas !!!! Enfants, adolescents, adultes, femme ayant le désir de procréer, seniors,… tous trouveront de l’intérêt dans les informations trouvées dans leur bilan. Le patient gagne à tous les coups : soit son bilan est optimal et cela veut dire qu’il s’alimente très bien et gère bien ses émotions : ne changer rien! Soit des anomalies sont mises en évidence et pourraient compromettre la santé. Corriger ces anomalies permettra alors de réduire le risque de perdre la forme ou d’être malade. Aujourd'hui, la médecine est essentiellement orientée sur la maladie qui elle-même survient très souvent en conséquence de dysfonctionnements, déséquilibres, voire déficits non perçus à temps. Il vaut mieux prévenir la maladie ou le dysfonctionnement. Quelle économie considérable, en plus d'offrir un confort de vie que cela soie au niveau capacités physiques, mentales, émotionnelles.

Qu’est-ce qu’un bilan nutritionnel ?

Il s’agit d’une analyse de sang approfondie ainsi qu’une analyse d’urines. Le bilan nutritionnel analyse les paramètres nutritionnels les plus importants pour la santé et qui sont les plus souvent altérés dans notre population.

1. Profil des Acides Gras
2. Homocystéine
3. Indicateurs de Stress Oxydant
4. Vitamines, minéraux et oligo-éléments
5. IgG alimentaires
6. Analyse des neurotransmetteurs (molécules de base pour la formation de nos hormones de bien être)
7. Mesure du candida albicans (si nécessaire)

Pourquoi faire un bilan nutritionnel ?

Parce que la santé est un bien précieux et qu’il est prouvé aujourd’hui que l’alimentation est un facteur prépondérant de celle-ci.
« QUE TON ALIMENT SOIT TA PREMIERE MEDECINE » déclarait, au 4ème siècle av. J.-C., Hippocrate, le père de la médecine occidentale. Il est clair que Hippocrate ne soignait pas avec l'allopathie mais avec des éléments de base, c'était l'époque où on écoutait le patient, on cherchait la cause mais pas les conséquences .

A l'âge de 5ans, je voulais déjà être médecin, métier merveilleux ! J'ai réussi mon diplôme et je croyais pouvoir aider les patients. Cette devise était ancrée jusqu'au moment où j'ai étudié la médecine nutritionnelle et fonctionnelle. Là, ma carrière a vraiment pris un tournant formidable: comprendre la médecine, comprendre les origines des symptômes. J'ai changé catégoriquement ma vision d'antan : un symptôme, un examen, un médicament.

Je m'intéresse à l'origine réelle des plaintes et surtout je peux aider, sans effet secondaire, à améliorer la santé de mes patients. Je suis à mes yeux devenue un vrai médecin, employant une logique plutôt qu'un compendium de médicaments et d'effets secondaires.

Quand j’ai commencé à exercer la médecine, on ne voyait que rarement des maladies auto-immunes et de temps-en-temps, des maladies chroniques. Vingt-cinq ans plus tard, pour ne citer que celle-là, la sclérose en plaques est devenue courante. L’eczéma, l’allergie, la dépression, les cancers, etc.…

On estime qu’en 2020, 50% de la population sera allergique.

Déjà du temps du Dr Kousmine. (1928), elle s’était rendue compte que la majorité des maladies chroniques actuelles semblait être la conséquence indirecte d’une alimentation progressivement dégradée et appauvrie en nutriments essentiels.

Elle avait également remarqué que si une alimentation appauvrie engendrait des troubles de la santé, le retour à une alimentation saine se révélait être une arme thérapeutique très efficace. Bien sûr, faut-il avoir un intestin avec une capacité d’absorption correcte (cfr. chapitre sur le leaky gut syndrome). Un intestin endommagé est le berceau des maladies chroniques. Actuellement 35% des cancers trouvent leur origine dans une alimentation déséquilibrée, dès lors, on comprend aisément son rôle primordial dans le maintien de la santé.

La nourriture et le stress

Notre relation à la nourriture est instinctive et affective. Notre attraction pour certains goûts trouve leur origine depuis notre enfance. Le plaisir de la table devrait être un moment de détente, de partage, de satisfaction et de rapprochement avec ceux que l’on aime. Qu’en advient-il actuellement ? Prenons-nous le temps de manger ? De déstresser en ce moment divin ?
La société moderne est une société où l’intégrité du « moi » est oubliée. Qui peut affirmer qu’il vit sans ce stress chronique, cette pression des autres sur soi-même, sans cette notion du temps, laissant place quotidiennement à un moment uniquement pour « soi » ??
Ce stress est souvent oublié dans le développement de beaucoup de maladies (ex : sclérose en plaques, eczéma etc.)

Quand va-t-on enfin décider de prendre du temps pour soi ? Faut-il que je demande à chaque fois à un patient de penser à vivre en dehors de ce monde « fou » pour qu’il réalise enfin dans quelle spirale il est engagé ? Prenez du temps pour penser à mieux organiser votre journée et surtout, donnez des priorités au « moi », même si cela vous paraît impossible…Mais croyez-moi , un jour vous vous rendez compte que la vie est passée sans en profiter. Tous nous courrions derrière des chimères ...au lieu de profiter du temps présent !
Le Dalai Lama disait :' quand on est jeune, on a les dents mais pas les noix, quand on est vieux on a les noix mais plus de dents. Ce que je trouve bizarre chez l'homme, c'est qu'il ramasse de l'argent toute sa vie pour le dépenser plus tard à rattraper son capital santé '.

Les antioxydants

La nutrithérapie s’intéresse depuis longtemps aux effets des antioxydants sur la santé optimale.

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La perméabilité membranaire

• Saviez-vous que votre cerveau comprend la modeste superficie de 25.000m² de membranes ? Saviez-vous que votre cerveau n’est autre qu’une grosse boule de graisse (60%)? Mais lesquelles ?
• Saviez-vous que notre intestin a aussi une superficie de 1000m2 de membranes ?
• Partout dans notre corps, on parle de km de membranes.
• Saviez-vous l'impact du type de graisses que vous mangez journalièrement a un effet direct sur toutes les membranes du corps ?

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