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Questions concernant les protéines

  • Comment calculer mon apport en protéines ?

    Nous comptons pour les hommes la plupart du temps 1,5 g par kilo de poids idéal ; pour les femmes, ce chiffre est de 1,2 g et pour les sportifs il oscille entre 1,8 et 2,0 g par kilo de poids idéal. Nous parlons ici de protéines pures.

  • Le corps peut-il décomposer la masse musculaire et transformer les protéines en glucides ?

    Oui, un corps qui a besoin de calories a besoin de glucose, donc de glucides, et il commencera par utiliser la réserve de glycogène, réserve qui sera épuisée après un jour, ensuite il décomposera les muscles plutôt que les graisses lorsque ces muscles ne sont pas protégés suffisamment par les protéines. C’est pourquoi nous tenons cette comptabilité minutieuse et prescrivons ces quantités précises. Lorsque vous prenez moins de protéines, votre corps décompose une partie de la masse musculaire et une partie des graisses, avec pour conséquence que vous êtes automatiquement confronté à un effet yo-yo et une certaine asthénie (fatigue).

    En stockant certains acides aminés, le foie arrive à transformer environ 200 g de glucose par jour, afin de satisfaire les besoins des tissus cellulaires qui n’utilisent comme seul combustible que le glucose. Ce sont principalement les globules rouges et certaines cellules des yeux, des reins et du cerveau. Le cerveau est d’ailleurs le plus gros consommateur de glucides : il utilise jusqu’à 80 % des glucides que l'on absorbe.

    En cas de sous-alimentation, le corps se met à décomposer sa propre masse musculaire pour satisfaire ces besoins. Mais avec les quantités appropriées de protéines apportées par la diète, le corps préserve la masse musculaire et fabrique du glucose à partir de la graisse. Donc, la graisse est une excellente source de calories, puisque 1g de lipides apporte 9 kcal. Il faut donc brûler 9000 kcals !! Pour perdre 1 kilo, or l’organisme humain consomme en moyenne 2000-2500 kcal / jour.

    Regardez nos grands-parents maigres, ils ont fait du ‘cannibalisme’ c’est-à-dire ‘maigrir’ sa propre masse musculaire, ce qui n’est pas le but ! Toute personne âgée ne mangeant pas assez des protéines devrait être systématiquement supplémentée mais pas avec des protéines sucrées (ce qui est souvent le cas et très nocifs car elles ont déjà souvent une résistance à l’insuline et un prédiabète de vieillisse).

  • Le corps transforme-t-il l’excès de protéines en graisse stockée ?

    La graisse est une sorte de réserve d’énergie. Le corps utilise rapidement les protéines comme source d’énergie. En revanche, il utilise aussi les protéines pour fabriquer les millions de constituants de protéines qui sont nécessaires à l’entretien quotidien de votre corps. Votre corps transforme facilement l’excédent de graisses et aussi de glucides, en graisse stockée, mais uniquement en présence d’insuline dans le sang. L’insuline, responsable également de la sensation de faim, provoque le stockage des glucides sous forme de graisse.

    Un excès de protéine peut également se transformer et se stocker. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».

  • Que se passe-t-il lorsque l’on prend moins de protéines que la quantité minimale prescrite ?

    Cela peut avoir pour effet de ne pas obtenir avec le programme protéiné le résultat optimal escompté. Votre FFM (Fat-Free Mass ou masse sans les graisses), c’est-à-dire la masse musculaire plus la masse d’eau corporelle, a besoin de protéines pour assurer le métabolisme. Si vous ne fournissez pas à votre corps suffisamment de protéines pour soutenir la masse musculaire, alors vous soutenez encore moins le fonctionnement métabolique de votre corps. Vous serez moins énergique et vous aurez plus de mal à perdre du poids. Pensez à l’analogie avec un feu intense. Le but de ce feu est de vous procurer de la chaleur et, pour produire cette chaleur, vous devez nourrir ce feu avec du bois. Si vous arrêtez d’ajouter du bois, le feu s’éteint. Le fonctionnement de votre corps est comparable à ce feu, dans la mesure où, en ajoutant suffisamment de protéines dans votre « foyer corporel », vous lui épargnez ses propres protéines, c’est-à-dire les muscles. De cette façon, le métabolisme est le moins affecté.

  • Quel est le meilleur choix en matière de produits protéinés ? S’agit-il de tous les produits de régime ou substituts de repas possibles, à base de protéines ?

    Lorsque nous parlons de « sachets protéinés », il s’agit toujours de protéines de qualité, très spécifiques. Les produits doivent être composés spécifiquement, suivant des normes strictes de qualité et de sécurité (ISO 9002) dont l’application est vérifiée par le bureau de contrôle B.V.Q.I. (Bureau Veritas Quality International) accrédité par le COFRAC. Les produits sont compatibles avec le système de traçabilité défendu par l’organisme français ANVAR (Association Nationale de Valorisation de la Recherche). Attention : un bon nombre d’encas vendus sur le marché sont certes bons en gouts mais trop sucrés et trop gras. Ne les consommez pas !

Questions concernant les glucides

  • Dois-je vraiment m’en tenir aux quantités de glucides prescrites pour chaque repas ? Que se passe-t-il si je prends plus de glucides ?

    Il ne fait aucun doute que si vous suivez scrupuleusement votre programme, vous obtiendrez de meilleurs résultats. Vous pourriez être tenté(e) de diminuer progressivement les glucides, mais cela ne permettrait pas d’atteindre de meilleurs résultats. Lorsque l’on veut résoudre un problème d’insuline, le mieux que l’on puisse faire est de :

    1. Optimaliser les mitochondries (voir article : mitochondries)
    2. Limiter les mauvaises graisses
    3. Augmenter les omégas-3-7-9
    4. Diminuer les sucres rapides

    Dans le MDC diet, nous essayons tout d’abord de contrôler cette insuline, de stabiliser les hormones métaboliques et de progresser ensuite pas à pas. Lorsque tout est sous contrôle, on peut ajouter progressivement des glucides.

    Lorsque vous vous approchez de votre poids idéal, nous passons au programme puis à la stabilisation. Dans ces phases ultérieures, le niveau de glucides sera nettement plus élevé que dans la phase MDC diet 1. S’il vous arrive de consommer trop de glucides au cours d’un ou de deux repas, cela ne ruine pas totalement votre programme, mais vos niveaux d’insuline s’élèvent, ce qui perturbe quand même sérieusement le programme. Il vous est donc conseillé de vous en tenir à la quantité de glucides que le médecin vous a prescrite par phase, par jour et par repas.

  • Les fruits et les légumes sont-ils interdits ou limités pendant le programme protéiné ?

    Qui dit fruit, dit glucides. Il vaut donc mieux éviter les fruits au cours du programme MDC diet 1. Nous commençons avec un maximum de 50g de glucides par jour. Donc, si vous mangez une pomme de 100g, vous aurez avalé au moins 10g, soit un quart de vos glucides journaliers.

    Si vous suivez votre programme de façon stricte, vous pourrez, après quelque temps, consommer une plus grande variété de fruits et de légumes. Les légumes sont admis, certes à condition que vous fassiez les bons choix. L’idée que les programmes pauvres en glucides ne doivent comporter aucun fruit ni légume est un mythe. Et devraient être interdites ! Ne pratiquez jamais ces types de régimes très nocifs pour votre capital santé. Dans les régimes antérieurs, pauvres en glucides, on mangeait surtout de la viande et du fromage, et l’on n’accordait que peu de place ou d’attention aux fruits et aux légumes. Si vous avez des questions, des exigences personnelles, parlez-en au Dr. Carchon et aux diététiciennes. Tout est possible si on en parle. Ne prenez pas votre régime comme une punition mais un avenir pour une santé meilleure physique est psychologique.

  • Puis-je suivre un régime sans glucides ?

    Un régime sans aucun apport de glucides est formellement interdit, car il faut un minimum d’insuline faute de quoi vous pourriez rencontrer des problèmes au pancréas. Les graisses aussi sont indispensables pour éviter les calculs biliaires. C’est pourquoi votre régime en comprend un minimum, 2-3 cuillères à soupe d’huile d’olive 100% bio. Ces graisses sont également importantes pour la qualité de votre peau. Utilisez, pour cette raison, toujours une huile d’olive de qualité 100% bio, car elle protège les vaisseaux sanguins (voir texte : huile d’olive). Evitez surtout l’excès de graisses saturées.

    C’est d’ailleurs un des secrets du bon vieilissement.

  • Qu’entend-on par quantité « effective » de glucides ?

    Les gens pensent souvent que lorsque l’on parle de « glucides » on ne parle que de sucre. Mais le terme de glucide est une dénomination commune, un nom catégoriel, qui recouvre toutes sortes de sucres, aussi bien les faux que les vrais. Beaucoup pensent aussi que les friandises sans sucre sont des produits que l’on peut consommer sans modération, mais ce n’est pas le cas ! La mention « sans sucre » n’est même pas intéressante pour le diabétique. Arrêtez de manger des faux sucres ! Préférez si nécessaire le sucre brun de canne mais jamais du sucre raffiné !

    La composition indiquée sur l’étiquette de tout produit alimentaire donne la teneur totale en glucides du produit, moins la part de fibres. Le décompte de glucides utilisé pour l’étiquetage d’un aliment indique donc également la quantité de fibres dans le produit.

    Les fibres, tant solubles qu’insolubles, ne sont pas assimilées par le corps et ne doivent donc pas être prises en compte en ce qui concerne la perte de poids, le taux de glycémie ou la réponse insulinique. La quantité de glucides à prendre quotidiennement est la quantité « effective » de glucides qui provoqueront une réponse au sucre et à l’insuline. Ne faites pas d’essais de votre propre initiative ; suivez les instructions de votre médecin et des diététiciennes.

  • Quelle quantité de glucides puis-je prendre pendant un programme MDC diet 1 ?

    Au maximum 40 à 50 g de glucides par jour! Bien que dans certaines études 80g de glucides est admis par jour.

    Au fur et à mesure de votre progression dans le programme, votre quantité admissible de glucides sera augmentée. Les glucides seront étalés sur la journée complète.

  • Quels aliments appartiennent à la famille des glucides ?

    Les glucides, ou hydrates de carbone, sont contenus dans tous les aliments céréaliers, tels que le froment, l’avoine, le riz, le maïs, le seigle et l’épeautre, mais aussi tous les fruits et légumes.

    Le choix des glucides adéquats est la clé de la réussite d’un régime pauvre en hydrates de carbone. Une liste vous sera remise lors de l’établissement de votre programma.

  • Quels sont les légumes riches en glucides ?

    Par ordre décroissant, pour un même poids : les haricots blancs, les lentilles, les pois chiche, l’artichaut, le cerfeuil, les flageolets, les petits pois, le poireau, la betterave rouge, le potiron, le céleri vert, le poivron, la carotte, la courgette, le céleri-rave, le raifort, le navet, les pousses de soja, les haricots princesse, le chou blanc, salsifis...

    On peut effectivement grossir en mangeant certains légumes avec un index glycémique élevé, par exemple on ne peut pas comparer une carotte crue avec une carotte cuite, dont l’index glycémique est bien plus élevé.

Questions concernant les graisses

  • Combien de sortes de graisses y a-t-il et quelles sont les recommandations concernant leur consommation ?

    Les graisses peuvent être divisées en quatre catégories, selon le rôle qu’elles jouent : les acides gras saturés, les acides gras mono-insaturés et les acides gras polyinsaturés et les trans.

    Les acides gras saturés proviennent essentiellement des graisses animales mais sont également présents dans les graisses végétales telles l’huile de palme et l’huile de coco. Evitez-les. Consommés, ils peuvent donner lieu à certains types de cancers et à des troubles cardio-vasculaires. Donc elles devraient être interdites. Dans les pays occidentaux, la proportion de lipides dans la consommation journalière de calories est de 45 %, chiffre qui devrait descendre à 30 %. Les graisses saturées ne devraient pas dépasser 10% de la ration journalière, or nous en consommons en moyenne 50%. Apprenez à lire les étiquettes. Ce type de graisse est très fréquemment utilisé dans l’industrie des biscuits et pâtisseries car c’est un type de graisse qui est bon marché.

    Les acides gras mono-insaturés se caractérisent par une solidification moins facile à température ambiante. C’est le cas notamment de l’huile d’olive. Elle est riche en acides gras mono-insaturés, aux propriétés antioxydantes. Elle empêche donc l’oxydation et réduit le taux de cholestérol. La consommation d’acides gras mono-insaturés devrait représenter 30 % des lipides absorbés, ce qui équivaut à 2 ou 3 cuillères à soupe d’huile d’olive (de pureté 100% bio bien sur !) par jour.

    Il existe deux catégories d’acides gras polyinsaturés : les oméga-3 et les oméga-6. Les omégas-3 sont représentés surtout dans les huiles de colza, cameline, lin et noix. Ils sont également présents dans les poissons gras tels que le hareng, les sardines, le saumon, l’anguille. Le maquereau, le thon, l’espadon ne sont pas des poissons gras donc ne contiennent pas d’omégas-3 et en plus ce sont des poissons qui sont très chargés en mercure : leur consommation n’est donc pas conseillée, voir interdite sous toutes ses formes ! Les oméga-6 sont surtout présents dans les huiles de tournesol, pépin de raisin, noisette, maïs, mais également dans la viande et les œufs.

    Le rapport d’acides gras oméga 6 et oméga 3 devrait être constante et située autour de 4 pour 1, alors que dans les pays occidentaux elle est le plus souvent de 15 pour 1. Un rapport oméga-3/oméga-6 trop élevé donne des douleurs articulaires, inflammations, cancers,...

    Conclusion Dans notre civilisation actuelle : autoriser juste l’huile d’olive 100% bio, 2-3 cuillères à soupe par jour et le vrai beurre 10g par jour.

    La quatrième catégorie sont les graisses trans, très nocives et malheureusement présentent uniquement dans les pays industrialisés. Ils sont très cancérogènes, donnent une fatigue chronique et empêchent les omégas-3 d’être en partie absorbés. Ils sont présents surtout dans les pâtisseries, viennoiseries, graisse à friture, etc.

  • Quel est le rôle des « graisses » ?

    On trouve les graisses, encore appelées lipides, dans les produits animaux et végétaux. Depuis quelques années, nous avons créé une société lipophobe (= peur des graisses) et on nous appris à tort à fuir les graisses; toutes les maladies possibles telles que l’obésité, l’hypercholestérolémie et donc les problèmes cardio-vasculaires, le cancer et le vieillissement prématuré, tout est attribué à la consommation de graisses. C’est pourtant faux ! Ne croyez pas en ces fables ! Le sucre est bien plus dévastateur.

    Ce qu’il nous faut, ce n’est pas un programme pauvre en graisses, mais bien un programme comprenant les bonnes sortes de lipides, parce que nous avons besoin de ces acides gras pour maintenir nos cellules en forme. Préférons les aliments riches en oméga-3 et pauvres en graisses saturées, trans et hydrogénées. En plus la membrane interne de vos mitochondries sont très riches en omégas-3 type DHA (donc au plus de DHA au plus les mitochondries sont en forme).

    Ne comparez surtout pas les noix (très bénéfiques pour la santé, exemple : la noix du Brésil vous donne le magnésium et le sélénium nécessaire pour usage journalier) et les frites (mauvaise graisses car contiennent des trans et des omégas 6 pro-inflammatoires pour votre corps) mais j’admets que certaines personnes aiment le goût des frites mais je ne les interdit pas mais pas en excès ! Après tout, nous ne sommes pas belges pour rien !

  • Quels condiments et quelles sauces puis-je utiliser ?

    Vous pouvez utiliser n’importe quel condiment, mais attention aux glucides. Il est très important que vous appreniez à utiliser des épices pour donner du goût à vos plats et préparations. Certains condiments tels les sauces barbecue, le ketchup et certaines sauces vinaigrette, contiennent beaucoup de glucides. Certains exhausteurs de goût ont un taux de glucides réduit et donnent un goût extra à vos viandes, volailles et poissons. Apprenez à les connaître. Pour vos recettes, demandez l’avis de votre médecin et vos diététiciens.

    Utilisez le curcuma (si possible, frais) à la louche ! Il est extrêmement bénéfique (voir texte : curcuma) Ne l’ajoutez que à la fin de la préparation hors du feu. Sinon il perdra ses propriétés bénéfiques. L’ail frais est excellent : anti-cancer puissant, antihypertenseur, antifongique etc. A utiliser tous les jours.

Suggestions pour les repas et les collations

  • Activité physique ?

    Avoir une activité physique régulière ou faire du sport est très important pour garder la forme, rester en bonne santé et réussir de façon optimale un régime. Beaucoup de patients n'étant pas en mesure, pour diverses raisons, de faire du sport, nous mettons sans cesse l’accent sur l’importance de l’alimentation. Mais il n’y a aucun doute que plus d’activité et plus de sport vous aideront énormément à brûler vos graisses.

    L’aérobic et la gymnastique sont des compléments parfaits de votre diète, du moins si vous aimez cela et si vous y prenez du bon temps. Voici un exercice de 10 minutes facile à réaliser:

    10 minutes d'exercice d'intervalle (5 fois 2 minutes courir sur place, en alternance lent et rapide).
  • Combien de repas dois-je prendre par jour ?

    Il vaut mieux pour notre corps manger 3 repas par jour avec 1 à 2 collations éventuelles. Vous ne devez jamais avoir l’impression d’être gavé après un repas ou une collation. Essayez toujours de quitter la table en ayant l’impression de pouvoir encore manger. Evitez de manger après le repas ; ce sont des calories purement stockées. Faites également de vos repas et collations, des moments de détente ; ne mangez pas en vous démenant. Mâchez lentement et appréciez chaque bouchée (mastiquer 15x chaque bouchée). Ne sautez surtout pas le petit déjeuner ! Cela ne fait que vous inciter à manger plus au cours des autres repas. La mastication s’apprend : il faudra 3 mois d’apprentissage.

  • L’eau est-elle importante?

    Buvez au moins 1,5 litre d’eau par jour. L’eau prévient la constipation et élimine les toxines. En cas de constipation, buvez de préférence une eau riche en magnésium. Buvez uniquement des eaux minérales ou eaux de source (aucun estrogène).

  • Manger au restaurant ?

    Il est de plus en plus facile d’aller manger au restaurant tout en suivant un programme MDC diet. La plupart des restaurants ont pourtant introduits des alternatives à leurs plats de légumes ou autres aliments riches en fibres. N’hésitez pas à demander une portion supplémentaire de légumes à la place des pommes de terre, du riz ou des pâtes. Demandez également de quoi est fait le potage et évitez les bouillons à base de fécule de pomme de terre ou d’amidon. Une salade de légumes en entrée convient parfaitement. Les plats de résistance classiques, comme le poisson, le poulet ou la viande accompagnés de légumes sont parfaits pour compléter le programme. Demandez au serveur de NE PAS apporter de pain NI de carte des desserts. Arrêtez de manger lorsque vous vous sentez rassasié. Un verre de vin ou de champagne en apéritif est également acceptable. Profitez du bon moment mais faites un choix gidicieux.

  • Que contiennent ces sachets protéinés et comment dois-je les incorporer à ma diète ?

    Les sachets protéinés sont préparés à base de protéines de qualité et contiennent en moyenne 3 à 5g de glucides par sachet. Mélangez la poudre à de l’eau, ce qui donnera moins de glucides que si vous la mélangiez avec du lait. Vous pouvez prendre un sachet protéiné comme repas, comme collation ou une heure avant ou après un entraînement physique.

  • Que faire en voyage ?

    Voyager pendant que vous suivez un programme MDC diet est un vrai défi. Vous aurez alors appris ce que vous pouvez et ne pouvez pas manger et vous pourrez faire vous-même les choix qui correspondront le mieux à vos nouvelles habitudes alimentaires. Prévoyez toujours un en-cas lorsque vous voulez sauter un repas, en cours de route ou lorsque, par exemple, vous voulez éviter la nourriture servie dans l’avion. Il est fréquent et inévitable de consommer plus de glucides en cours de voyage ; donc, pas de panique. Lorsque vous serez de retour chez vous, installé dans votre routine quotidienne, vous pourrez redevenir rapidement puriste et vous en tenir strictement à votre diète. Veillez, lorsque vous voyagez, à avoir toujours avec vous une bouteille d’eau. Boire de l’eau vous donne l’impression d’avoir l’estomac plein et vous rassasie lorsque les repas sont très espacés.

  • Que faire si j’ai faim entre les repas ?

    Lors d’un programme MDC diet, vous n’aurez pas vraiment faim ; ce seront plutôt des ‘envies’ de manger. Prenez alors toujours l’une ou l’autre forme de protéines, des crudités bien mastiquées, quelques légumes, du potage ou un sachet protéiné. La soupe est souvent oubliée et est pourtant riche en fibres et vitamines.

  • Quels aliments dois-je éviter en commençant un programme MDC diet ?

    Les douceurs à portée de main comme les cakes, tartelettes, biscuits, friandises et autres glaces, mais également les jus de fruits et les fruits sucrés comme les bananes, les papayes, les raisins, les dattes, les figues, les mangues, les fruits secs ainsi que les pommes de terre, les patates douces, le riz, les pâtes, les fritures, les chips, le pain, les gâteaux, le ketchup, les sauces, l’excès de café et l’alcool. Une fois votre but atteint, vous pouvez progressivement ajouter à votre régime de petites portions des aliments mentionnés ci-dessus en favorisant bien surs les fruits aux biscuits, c’est évident.